Cela fait longtemps que de nombreux utilisateurs du réseau social Facebook, s’estiment floués et mis de côté, au dépend des mauvais contenus et plus précisément ceux qui se cachent derrière des titres putaclic.
Les limites du putaclic / clickbait ont-elles été atteintes ?
Il suffit de voir les dernières plaintes de nombreux YouTubeurs influenceurs à ce sujet, qui estimaient que Google favorisait grandement ce type de contenu sur sa plateforme vidéo et via son algorithme.
Certains ont bien anticipés leur reconversion et leur virage en terme de plateforme pour diffuser du contenu lol et sans grand intérêt pour les internautes se situant dans la tranche d’âge au dessus des 25 ans.
L’Edgerank Facebook et l’IA pour détecter les mauvais contenus
L’Edgerank Facebook reste relativement compliqué à démystifier, au vu de ses nombreuses améliorations et des tests répétés pour satisfaire l’expérience utilisateur au mieux.
Il est néanmoins mis à contribution pour déclarer la guerre aux mauvais contenus et faire toujours remonter les résultats les plus pertinents aux utilisateurs du réseau social.
L’algorithme de Facebook devrait considérer les pages web d’où les liens sont partagés.
Ainsi les pages de très mauvaise qualité seront logiquement pénalisées, avec une portée négative qui s’en suivra qu’elle soit payante ou naturelle.
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L’intelligence artificielle de Facebook
Là où il faudra aussi regarder les innovations en terme de chasse au mauvais contenus, c’est au niveau de l’intelligence artificielle (IA) abordée de nouveau par Mark Zuckerberg le mois dernier lors de la conférence F8.
Si de nombreux projets autour de l’IA sont abordés par le PDG de Facebook depuis quelques années, c’est entre l’année dernière et cette année que le sujet est devenu une priorité pour le réseau social.
Nous avons entendu parlé de Jarvis (Assistant virtuel d’Iron Man) et plus récemment de M venant s’intercaler au côtés de Cortana, de Siri et consort.
Mais à côté de ça Facebook utilise l’IA pour analyser les publications et les différents types de contenu qu’elles renferment (vidéos, textes, images etc…) afin de déterminer si du contenu offensant s’y trouve et s’il contrevient aux règles imposées par Facebook.
Plusieurs critères seront définis sur les contenus, ceux qui seront répliqués notamment, tout en attribuant ainsi la primeur au contenu le plus récent.
En conclusion
Le contenu de mauvaise qualité qui sera pénalisé, ne sera donc pas uniquement une question de contenu en tant que tel, mais également de l’environnement dans lequel il est diffusé à l’origine. On peut dès lors parler de site de mauvaise qualité à la source, où sont généralement présent des encarts publicitaires en masse et des liens putaclic en grand nombre.
Au delà il serait intéressant de comparer la manière de fonctionner de Google face aux algorithmes de Facebook, et de voir si les pénalisations seront conservées en mémoire et combien de temps.
Quels seraient dés lors les recours pour les propriétaires des sites, afin qu’ils s’alignent sur des critères d’exigences… s’ils devaient bien sur existés en étant bien cadrés.
Affaire à suivre !
Quelques sources pour en savoir plus sur le sujet : 1ère position et Tom travel
crédit photo à la une : iStock by Getty Images
