FAQ Community Manager

FAQ CM : Le community manager doit-il parler anglais couramment ?

En community management, il n'est pas rare de voir de nombreuses entreprises stipuler dans leur offre d'emploi : anglais courant souhaité ou exigé. Dans la FAQ CM, voyons ce qu'il en est réellement pour le community manager :

L’anglais étant la langue la plus parlée dans le monde, de très nombreuses entreprises sollicitent des profils qui parlent couramment la langue de Shakespeare. Le community management n’y coupe pas car de plus en plus d’annonces font état de la mention « anglais courant » indispensable ou fortement souhaité pour le community manager.

Faut-il obligatoirement parler la langue anglaise quand on vise un poste de community manager ? C’est ce que nous allons voir dans la FAQ CM du jour.

 

Parler anglais en community management, est-ce indispensable ?

Avant tout, et si vous souhaitez savoir comment apprendre l’anglais en ligne, il n’y a rien de plus simple ! Il existe aujourd’hui de très nombreux centres de formations qui dispensent l’apprentissage de l’anglais, aussi bien pour les professionnels en poste que pour les particuliers désireux de s’y mettre.

Apprendre l'anglais en ligne

L’avantage de l’apprentissage en ligne est la flexibilité offerte aux professionnels qui doivent composer avec leur travail et la formation à suivre. Apprendre l’anglais reste majoritairement intéressant pour élargir les possibilités d’embauches et les opportunités diverses qui requiert de parler la langue couramment.

En community management et à plus forte raison en 2023, c’est donc presque une nécessité de parler l’anglais, pour ne pas se couper des jobs où la langue est indispensable. A ce titre on peut établir une liste des structures où l’anglais sera souvent incontournable pour décrocher un poste de community manager.

Parler anglais couramment : incontournable au sein des agences

Démarrons par la première des structures où l’anglais est clairement requis pour exercer en tant que community manager ou consultant social media ; l’agence. Les agences digitales mettront majoritairement en avant la langue anglaise, qu’il faudra parler couramment.

La raison est simple, elles travaillent avec de nombreux clients qui ont des filiales à travers le monde. Dans de nombreux cas, les agences travaillent aussi directement avec des correspondants professionnels anglophones.

Il sera donc difficile de passer au travers, d’autant plus que l’agence digitale est la meilleure structure pour faire ses armes en community management. Entre l’autonomie à acquérir rapidement et la diversité des clients, les community managers doivent être proactifs et maitriser parfaitement l’anglais. D’autant plus quand il s’agit de valider des publications ou simplement obtenir des informations de la part d’un partenaire.

Apprentissage de la langue anglaise pour travailler en community management

Cela dépend également de l’envergure de l’agence et de son rayonnement géographique. Dans certains cas, on ne vous demandera pas de parler anglais mais on pourra le souligner comme étant souhaité. Ce qui signifie qu’un profil qui parle anglais couramment aura plus de chances d’être retenu. Les petites agences peuvent ne pas du tout le demander, donc à voir selon les désirs de chacun quand on évoque les agences.

L’anglais règne au sein des startups ! 

Un autre univers où il est coutume de maitriser la langue anglaise, sont les startups ! Avec à leur tête des jeunes entrepreneurs qui ont des bagages souvent solides, l’anglais y est de mise. Là encore quand ces structures ont des projets qui visent l’international, l’angamis sera forcément requis pour rejointe les équipes.

Avec des budgets qui ne sont pas forcément extensibles, les startups ne peuvent se permettre d’embaucher un CM qui ne serait pas bilingue français / anglais au minimum, sans oublier les compétences qui vont avec. Il est à noter que ce n’est pas toujours le cas, notamment quand la startup à dépasser un stade pour entrer dans sa phase de maturité.

Les PME : l’anglais n’est pas obligatoire en grande majorité

Les PME sont suffisamment représentées dans tous les domaines pour ne pas avoir à passer par l’apprentissage de l’anglais. S’ils demeurent des sociétés qui en feront la demande, ce n’est pas une majorité. L’anglais n’est pas un frein dans nombre de PME, mais ça peut représenter un frein quand on souhaite rejoindre certaines sociétés.

Il y aura toujours des entreprises qui le souligneront dans leurs annonces, donc à voir si l’anglais est vital ou s’il s’agit d’une annonce-type.

 

Les domaines où l’anglais est souvent une nécessité

En dehors des structures, il y aussi des domaines d’activités où l’anglais pourrait primer dans tous les cas, même si le community manager peut en être un peu éloigné dans ses tâches.

Parler anglais,Apprendre anglais en ligne

Parmi eux quelques domaines :

  • Le tourisme et toutes les structures qui s’y rattachent,
  • Le domaine culturel qui est en contact avec le monde entier,
  • L’informatique du point technique et langage de programmation etc..
  • La mode etc..

Ainsi il est possible qu’au sein d’un domaine spécifique, parler anglais soit une nécessité pour les échanges avec les membres de sa communauté notamment mais également pour les prises de parole. Ainsi on distinguera de ce fait l’anglais parlé et l’anglais écrit car certains seront plus à l’aise sur la rédaction qu’à l’oral.

 

Pourquoi ne pas se mettre à l’anglais ?

Il apparait évident que se mettre à l’apprentissage de l’anglais peut vous ouvrir des opportunités d’emploi mais également une meilleure insertion dans les milieux anglophones. Apprendre en ligne est aujourd’hui à la portée de tous, jusqu’à pouvoir choisir un anglais professionnel et technique ou tout simplement en vue d’échanger au quotidien.

Dans le cadre de voyage l’anglais demeure qui plus est la langue universelle parlée dans de nombreux pays.

   

Laurent Bour

Fondateur du Journal du Community Manager et vrai Geek ! je suis passionné par l'univers social media et particulièrement par les nouveaux leviers marketing. J'arpente Internet et les médias sociaux depuis leurs débuts. J'ai assuré mes débuts en informatique sur un Oric Atmos, et j'ai été un vrai fan de l'Amiga. Expert ! Je ne le suis pas. Je continue d'apprendre.

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