Il y avait un temps où la publicité traditionnelle était le seul et unique moyen disponible pour les marketeurs, afin de faire connaître des marques et des produits.
Le marketing d’influence prend le dessus sur la publicité traditionnelle
Il n’est pas exagéré de dire aujourd’hui, que les publicités traditionnelles sont totalement dépassées par la mutation des habitudes des consommateurs. Cependant je conçois que dire que la publicité est morte, est galvaudé, car elle demeure un levier traditionnel qui sera toujours présent pour promouvoir ses produits ou ses services.
On met simplement l’accent sur un levier tendance qu’est le marketing d’influence et il est souvent positionné comme un choix intelligent et plus flexible en terme de créativité que la pub traditionnelle. Cette dernière pourrait bien mettre en scène des influenceurs au demeurant, ce qui diluerait le marketing d’influence au bénéfice de la publicité.
La mort annoncée est un déclin qui pourrait progresser au fin des années face à la jeunesse et ses nouveaux modes de perception, de consommation etc… On touche plus facilement une cible en usant de leviers tendance auprès d’une certaine population. Le côté intrusif est également un des points les plus soulevés.
Selon une récente étude, seulement 6% des millennials, qui représentent le cœur de cible pour la plupart des marketeurs, jugent les publicités traditionnelles crédibles.
Aujourd’hui 70% des consommateurs préfèrent en savoir plus sur une marque, un produit ou un service, grâce à un article détaillé qui soit pertinent et informatif, un avis ou encore la recommandation d’un influenceur. Et ceci, plutôt que par de la publicité traditionnelle.
A ce titre l’influenceur devra faire preuve d’authenticité et adhérer à la marque, tout en ayant une affinité avec ce qu’elle représente et/ou au minimum avec les produits qu’elle propose.
C’est dans ce cadre que de plus en plus de marques préfèrent se tourner vers les micro-influenceurs, dans le but d’obtenir de l’engagement et de mesurer plus efficacement certaines campagnes. Ils sont en général plus proche de leur communauté et ils interagissent pour obtenir des retours.
Le taux de clic sur une bannière publicitaire était de 9% au milieu des années 1990, il n’atteint aujourd’hui même plus 0.1%.
Ces statistiques convergent vers un fait établi. Le marketing d’influence et le marketing de contenu sont dans l’air du temps, alors que la publicité traditionnelle intempestive est largement dépassée.
Pour les marques, il est de rigueur de savoir comment travailler avec les blogueurs influenceurs, les youtubeurs, les instagrameurs… afin qu’elles puissent comprendre les mécaniques et le comportement des influenceurs vis à vis de leur communauté. C’est également de cette façon qu’elles détecteront les affinités possibles avec leurs produits et/ou services.
Pourquoi la publicité traditionnelle viendrait-elle à mourir ?
La raison la plus valable expliquant la perte de vitesse et la disparition de l’efficacité de la publicité traditionnelle est son caractère intrusif et intempestif.
Personne n’aime voir une publicité en pleine scène importante d’une vidéo ou à la télévision. La plupart des personnes déteste les hyperboles et prétentions exagérées qui émanent de ce type de publicité. Elles ont l’impression que leur intelligence est remise en question.
De plus, les publicités financées essaient de lancer de forts appels à l’action sans vraiment expliquer en détails pourquoi le produit serait meilleur pour telle personne en particulier. A l’opposé, les posts diffusés sur les médias sociaux tels qu’Instagram par de puissants leaders d’opinion offrent un aperçu bien plus profond et authentique, discutant les problèmes pratiques et proposant des solutions innovantes.
Ainsi, lorsque les influenceurs évoquent un produit qui pourrait résoudre un problème en particulier, grâce à leur autorité acquise au sein de leur niche, les gens leur accordent davantage confiance.
Notons que l’influenceur digital, à l’inverse des publicités traditionnelles, individualise et interagit, ce qui signifie que le lecteur peut poser une question lorsqu’il a éventuellement des doutes et obtenir ainsi une réponse détaillée immédiate.
C’est ici que les publicités en arrivent à échouer totalement. En ce qui concerne les influenceurs et les influenceuses, les gens les suivent parce qu’ils veulent en savoir plus sur leurs habitudes de consommation et leur mode de vie. Dès lors, ils sont beaucoup plus réceptif aux recommandations faite par l’influenceur.
On peut dire qu’il y a une forme d’identification à l’influenceur qui peut parfois créer de la distance à l’extrême. Pour conserver sa crédibilité, un influenceur doit demeurer authentique et rester proche de sa communauté, afin de recueillir ses impressions tout en instaurant un climat de confiance.
L’ascension du marketing d’influence
Prenons l’exemple d’une nouvelle marque de vêtements qui ne bénéficie pas encore d’une grande notoriété. Elle pourra recourir à des plateformes de marketing d’influence comme ifluenz afin de trouver et de s’associer à des influenceurs qui pourront assurer la promotion de sa marque sur Instagram.
De cette manière, la marque peut mettre à son profit la visibilité et le pouvoir de prescription des influenceurs, dont les publications bénéficient d’un impact important sur la clientèle cible.
La marque en question constatera rapidement que la publication Instagram faite par l’influenceur sera beaucoup plus efficace et que le retour sur investissement sera nettement supérieur à la publicité traditionnelle online ou offline.
Pour un coût modéré, les marques peuvent toucher une large audience réceptive et demandeuse de recommandations en peu de temps. S’il y a affinité à la validation de la marque ou du produit par l’influenceur, la question de qualité, que la plupart des consommateurs se posent, sera secondaire.
Le rôle des influenceurs
Ce qu’on attend des influenceurs aujourd’hui, c’est qu’ils aient une proximité avec leur communauté et un engagement mesurable, ceci afin de permettre de mieux cerner les besoins et les attentes des consommateurs. Les marques ont besoin d’être en confiance et d’obtenir des retours objectifs et pertinents.
Elles pourront ainsi affiner leurs offres en analysant les interactions et en mesurant l’engagement qu’elles obtiendront sur leurs actions.
En rejoignant une plateforme de marketing d’influence spécialisée autour d’Instagram comme iFluenz, les influenceurs et influenceuses seront encadrés et catégorisés. Les marques pourront ainsi être en relation avec des profils parfaitement en lien avec leurs thématiques.
L’avantage d’une plateforme de marketing d’influence spécialisé autour d’un réseau social comme Instagram, se situe autour d’une réelle expertise ayant trait aux mécaniques du réseau et aux influenceurs l’utilisant. Un autre point est que la plateforme peut parfaitement filtrer les vrais influenceurs et mettre en confiance les marques.
Nombre de plateformes se revendiquent spécialisées en marketing d’influence, mais elles sont davantage des solutions de monétisation ouvertes à toutes personnes possédant un support pour communiquer.
iFluenz apparaît par ailleurs dans le panorama social media 2017 de Brian Solis et Jess3 ci-dessous :
Conclusion sur la publicité traditionnelle est morte
Il est clair que toute stratégie consistant à intégrer le marketing d’influence sur Instagram à son plan de communication, est faite pour durer. Il n’en reste pas moins que pour rationaliser la recherche et la mise en œuvre des bons influenceurs Instagram, il convient de collaborer avec des spécialistes tels qu’ifluenz.
Cela permet notamment de gagner du temps, de s’assurer de trouver les meilleurs influenceurs pour chaque catégorie de produits et de suivre la performance de la campagne. Tout cela vous assurera d’énormes retours sur le court, moyen et long terme.
Ainsi la publicité traditionnelle est bien morte et le marketing d’influence continue de s’affirmer et d’évoluer en s’inscrivant comme levier principal de communication et de visibilité pour de très nombreuses marques.
article rédigé en partenariat avec iFluenz
faut voir au niveau des prix :)
Merci pour ce complément d’infos. L’article a été écrit en mettant l’accent sur des moteurs de recherche plus populaires face à Google, mais ce point concernant Qwant est juste, il n’est pas le seul … mais un des seuls.
Peut on avoir les sources de « Selon une récente étude » please ?